Acteur majeur de la prévoyance en France, le Groupe VYV lance l’Observatoire de l’imprévoyance. Objectif : développer son positionnement sur le marché en faisant prendre conscience aux Français de l’importance de la prévoyance.
Avec plus de 1,7 milliard d’euros de chiffre d’affaires assuré et/ou distribué, notre groupe est le 5e opérateur français de prévoyance*. Pour autant, sa notoriété et son positionnement ne sont pas à la hauteur de ce classement. Afin de favoriser et de développer sa reconnaissance sur ce secteur, et de rendre visible l’ensemble de ses offres, notre groupe a choisi de lancer une initiative singulière : l’Observatoire de l’imprévoyance.
Plutôt que d’opter pour une approche traditionnelle qui consiste à étudier les couvertures prévoyance complémentaires et le taux d’équipement des Français, l’Observatoire de l’imprévoyance vise à mesurer et à analyser les manques dus à des faiblesses ou des absences de couverture et en mesurer les conséquences.
Trop peu de Français perçoivent la nécessité de souscrire à un contrat de prévoyance, domaine souvent mal compris et jugé complexe. L’Observatoire de l’imprévoyance, co-construit avec les entités du groupe et les directions de l’UMG, permet de révéler les carences de couverture prévoyance en France. Notre groupe entend ainsi faire évoluer les consciences et créer le débat.
« Le Groupe VYV est né de l’ambition et de l’engagement d’être utile à tous et à chacun, dans la diversité des adhérents, à tous les âges et dans toutes les situations de vie. Aider les Français à se prémunir contre les conséquences des événements imprévisibles de la vie est au cœur de notre promesse mutualiste. L’Observatoire de l’imprévoyance répond à ces objectifs en même temps qu’il permet d’interpeller les pouvoirs publics sur les insuffisances de couverture. »
Thierry Beaudet, président du Groupe VYV
L’observatoire a vocation à travailler chaque année des angles différents pour proposer une vision globale de l’imprévoyance.
La démarche allie deux approches : macro-économique et micro-économique (au niveau d’un individu ou d’une entreprise)
Au niveau macro-économique, l’observatoire a évalué le coût de l’imprévoyance en France aujourd’hui et étudiera, via le concours d’économistes et d’actuaires, son évolution dans le temps. Ce coût de l’imprévoyance représente la charge financière annuelle que subissent les ménages en cas d’accident ou d’aléas de la vie, et cela par une insuffisance ou par l’absence de couverture de prévoyance complémentaire.
Au terme des travaux menés sur la base des prestations non versées par défaut de couverture de prévoyance complémentaire, le coût de l’imprévoyance a été estimé à 12,09 milliards d’euros.
– Au niveau individuel, approche micro-économique, un outil simple permettra à chacun d’évaluer son niveau de risque lié à l’imprévoyance, grâce à des travaux de modélisation et à une enquête auprès des Français.
En cours de conception, cet outil de calcul proposera aux Français de vérifier, en quelques clics, et grâce à un indice, s’ils sont dans une situation de vulnérabilité, ou non, face aux conséquences financières d’un accident grave ou d’une maladie invalidante. Cet indice sera à rapprocher de l’indice moyen des Français, issu de l’enquête réalisée par Ipsos auprès de 3 000 personnes, sur le thème de la prévoyance individuelle, dont les résultats sont attendus en février prochain.
« L’Observatoire de l’imprévoyance est une initiative du Groupe VYV menée par l’UMG avec Mutex et les mutuelles. Par ses travaux, il révèle l’inégal accès des Français à une couverture prévoyance et le besoin de sécurisation des parcours, tant individuels que professionnels. Son approche à la fois macro-économique et individuelle permet d’exprimer la complémentarité du groupe et des mutuelles, tout en renforçant leur notoriété sur cet axe stratégique de développement. »
L’Observatoire de l’imprévoyance fera l’objet d’un lancement institutionnel en mars 2021. En partenariat avec le quotidien Les Echos, notre groupe prévoit une conférence à distance, à laquelle seront conviés des leaders d’opinion, des décideurs, des partenaires sociaux, des représentants des pouvoirs publics… ainsi que la presse.
Le comité projet est composé de :